La peine de mort à été abolie en France grâce à la loi Badinter le 9 octobre 1981, cependant de nos
jours, ce sujet reste toujours source de débat.
Il suscite de vives réactions, tant de colère que
d'opposition. Malgré cela, nous estimons que la peine de mort devrait demeurer une option
envisageable, même si elle n'est pas systématiquement appliquée.
Nous proposons de réinscrire la
peine de mort dans la Constitution française lors du changement de gouvernement, en tenant
compte de l'avis du peuple exprimé lors d'un référendum national.
Ainsi, le Procureur de la
République pourrait requérir la peine la plus sévère si nécessaire, notamment pour des crimes
particulièrement odieux tels que les assassinats d'enfants avec torture et viol, ou les meurtres
crapuleux.
Il est important de souligner que réclamer la peine de mort ne signifie pas
automatiquement son application ; elle doit simplement demeurer une possibilité.
Le procureur
propose la sanction, tandis que les jurés d'assises, le président et ses assesseurs décident de son
utilisation ou non.
Grâce aux progrès de la science criminelle depuis les années 80, notamment le
test ADN et la vidéosurveillance, ainsi que les aveux des suspects, nous disposons désormais d'un
ensemble de preuves solides rendant l'application de la peine capitale incontestable lorsque toutes
ces preuves convergent.
Cependant, seule la justice aura le pouvoir de décider de son utilisation en
fonction des circonstances de chaque affaire.
Bien que de nombreux citoyens soient opposés à la
peine de mort, nous constatons un nombre significatif de personnes en faveur de sa réintégration
dans la Constitution française, d'où la nécessité d'un vote par référendum national pour que le
peuple soit le seul décisionnaire en la matière.